Jeudi au Diapason et samedi dans un café, le festival « Sciences en cour(t)s » présente une dizaine de petits films de vulgarisation scientifique.
De la géographie, de la psychologie, de la chimie, de la neurologie... Il y a de tout dans les dix courts-métrages que présente « Sciences en cour(t)s », le 2e Festival rennais du très court métrage de vulgarisation scientifique.
« Des films de quatre à six minutes dont certains sont en train d'être finis », raconte Nadia Férec, l'une des représentantes de Nicomaque, la fédération des associations de doctorants et de docteurs qui est à l'origine de ce rendez-vous. En effet, les productions présentées sont inédites. Elles ont été imaginées, sélectionnées et réalisées pour le festival.
« À l'image de ce qui se fait à La Rochelle depuis 1999, reprend la jeune chercheuse, nous avons lancé un appel à candidature auprès des doctorants. Ceux qui ont été sélectionnés ont alors bénéficié de la formation et du matériel nécessaire pour faire leur film. »
« Un exercice difficile mais passionnant, poursuit-elle. Résumer un sujet de thèse en quatre minutes donne des résultats parfois assez drôles. » En tout cas, l'objectif est toujours de faire des films attrayants, ludiques, accessible par tous.
Deux DVD à paraître
Jeudi après-midi, 170 lycéens de Saint-Joseph (Bruz), Saint-Vincent et Saint-Martin (Rennes) découvriront les courts en avant-première. Le soir, ce sera le grand public. Trois prix seront remis à cette occasion : celui des lycéens, celui du public et celui du jury. Samedi après-midi, on pourra de nouveau les voir en continue dans un bar du bas de la place des Lices.
L'aventure ne s'arrête toutefois pas là. L'association Nicomaque vient de trouver le financement pour sortir deux DVD de l'édition 2007 et de l'édition 2008.
« Ainsi, poursuit Nadia Férec, on pourra continuer leur diffusion au plus grand nombre, notamment pour les lycéens. » À cette fin, l'association travaille aussi sur l'idée d'une borne de diffusion qui pourrait se déplacer de lieu en lieu.
« C'est normal de vulgariser et de diffuser. D'abord, cela fait partie de la mission des chercheurs. Ensuite, c'est un juste retour envers le public de montrer à quoi sert l'argent public dédié à la recherche. C'est également, conclut-elle, un moyen de valoriser nos compétences et de susciter des vocations. »
Pratique. Jeudi 3, à 20 h 30 au Diapason sur le campus de Beaulieu. Gratuit. Samedi 5 avril de 14 h à 19 h au Bistro La Gasoline. Gratuit.
« Des films de quatre à six minutes dont certains sont en train d'être finis », raconte Nadia Férec, l'une des représentantes de Nicomaque, la fédération des associations de doctorants et de docteurs qui est à l'origine de ce rendez-vous. En effet, les productions présentées sont inédites. Elles ont été imaginées, sélectionnées et réalisées pour le festival.
« À l'image de ce qui se fait à La Rochelle depuis 1999, reprend la jeune chercheuse, nous avons lancé un appel à candidature auprès des doctorants. Ceux qui ont été sélectionnés ont alors bénéficié de la formation et du matériel nécessaire pour faire leur film. »
« Un exercice difficile mais passionnant, poursuit-elle. Résumer un sujet de thèse en quatre minutes donne des résultats parfois assez drôles. » En tout cas, l'objectif est toujours de faire des films attrayants, ludiques, accessible par tous.
Deux DVD à paraître
Jeudi après-midi, 170 lycéens de Saint-Joseph (Bruz), Saint-Vincent et Saint-Martin (Rennes) découvriront les courts en avant-première. Le soir, ce sera le grand public. Trois prix seront remis à cette occasion : celui des lycéens, celui du public et celui du jury. Samedi après-midi, on pourra de nouveau les voir en continue dans un bar du bas de la place des Lices.
L'aventure ne s'arrête toutefois pas là. L'association Nicomaque vient de trouver le financement pour sortir deux DVD de l'édition 2007 et de l'édition 2008.
« Ainsi, poursuit Nadia Férec, on pourra continuer leur diffusion au plus grand nombre, notamment pour les lycéens. » À cette fin, l'association travaille aussi sur l'idée d'une borne de diffusion qui pourrait se déplacer de lieu en lieu.
« C'est normal de vulgariser et de diffuser. D'abord, cela fait partie de la mission des chercheurs. Ensuite, c'est un juste retour envers le public de montrer à quoi sert l'argent public dédié à la recherche. C'est également, conclut-elle, un moyen de valoriser nos compétences et de susciter des vocations. »
Gilles KERDREUX.
Pratique. Jeudi 3, à 20 h 30 au Diapason sur le campus de Beaulieu. Gratuit. Samedi 5 avril de 14 h à 19 h au Bistro La Gasoline. Gratuit.
Ouest-France
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